MOTS LESTÉS
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Re: MOTS LESTÉS
ouvert le 9 décembre
pas de 'poésie révolutionnaire', de la poésie, pour la révolution, on verra
13 janvier : je mets un terme à cette série parallèlement au point final de mon Journal sans débord des Gilets Jaunes. C'est ma manière de me désolidariser totalement de tous ceux qui ont contribué à ce mouvement au nom du communisme, de l'anarchisme ou de l'antifascisme, et plus généralement de la liberté. Avec Rimbaud plus bas : mort au jaunisme !
mise à sac
(poème dadaïste, 2)
j'ai découpé dans le journal
les noms les plus fréquents
verbeux ou éloquents
du riche au plus banal
la verve hexagonale
ses mots inconséquents
stylés grandiloquents
ses phrases terminales
et j'ai mis le tout dans un sac
agité doucement
consciencieusement
sorti chaque coupure
avec son sens impur
aggravant le sillon
Fosobo 10 janvier 2019 11:23
Tristan Tzara, Pour faire un poème dadaïste, in Sept manifestes dada, 1924
l'honneur des poètes
pas un poète n'est en jaune
pas un mot chez Rimbaud
dévoyé des voyelles
envoyez vos plurielles
à la lune, ribauds
des bleus béjaunes
les temps sont à la boxe
et j'ai jeté mon gant
à la face d'un bouc
au profil arrogant
brûlé le facebook
débile où gerbe l'hoax
et beugle le slogan
du bigleux suffragant
Fosobo 10 janvier 2019 10:51
Arthur Rimbaud, Voyelles, 1871
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles...
la dérobée
cerveaux gelés
sous les gilets
langue en poterne
à la lanterne
bien pendue
où je m'enfuis
par tout à l'huis
au pas perdu
d'une baderne
la nuit m'ennuie
le jour me nuit
drapé en berne
clos des gibets
ah la caverne !
Fosobo 10 janvier 2019 10:33
sans gains
tu te disais que ton pays devenait fou
depuis longtemps déjà il n'était plus le même
qu'on attendait de lui. Il était bien le même
aux yeux de l'étranger à bord du garde flou
qui soulevait ses voiles et découvrait les trous
percés dans la carène au jaune de l'emblème
son ivre capitaine ourdit un stratagème
en vain quand à la barre il devint si fin saoul
qu'il donna le canon sur les gens de chez nous
le sang coulait ici et là-bas le champagne
il n'avait jamais navigué en tel danger
et ne savait pas qui qui qui serait mangé
mais consterné se retrouva au bagne
Fosobo 30 décembre 2018 03:13
gibets jaunes
des cas piteux d'une coupée tête
ont été rapportés décapités
de cette conjoncture de fête
où pue l'air dans la nuit déboutée
populaire est la tradition
populiste la transition
sans poésie ni révolution
Fosobo 29 décembre 2018 09:52
fuis là-bas fuis
je suis allé lui dire que je m'en vais
que je suis mieux chez moi, qu'est ailleurs que chez nous
où personne ne suit, où personne ne nuit
parce qu'il y fait jour gai, et que le triste cire ses bottes de non-lieu
sa tronche d'encaustique et ses tics pour la cause
et qui ne cause pas, qu'a des poux dans la tête à dormir nuit debout
à tourner en rond-point où fréquenter la haine à prendre pour l'amour
au bistrot du commerce et plans sur la commère
et comme on couche avec on salit ses beaux draps
on s'allie blanc et bleu on voit rouge où c'est jaune
et puis et pis pipis sur la moquette en chœur
et le merle moqueur s'en bat l'aile du cœur
et je m'en vais je dis avec la mer à boire et le ciel à croquer
Fosobo 28 décembre 2018 05:20
comptez légendes
les cons tenus en laisse
tombés laisse béton
ceux qui veulent des ronds
point. Et point que paresse
un monde sans argent
une ronde des gens
avec la mer à boire
04:48
des nouvelles du tronc
commun comme une oronge
est bleue comme pourri
tombé de l'arbre un fruit
sur le mal qui nous ronge
en attendant la nuit
en attendant la faim
en attendant demain
Fosobo 27 décembre 2018 20:05
amanite oronge
la lutte déglace
on pendra le marquis
on écrira un manifeste
de l'internationale illettriste
de fêtes en défaite
pas qu'au bal con, Noël est triste
de harde compagnie
on prendra le maquis
Fosobo 25 décembre 2018 16:36
50e anniversaire
- dis pépé, est-ce que t'y étais toi, un gilet jaune ?
- hmm... pourquoi poses-tu cette question ?
- ben parce que ça m'intéresse, tiens, quelle question !
- pourquoi ça t'intéresse ?
- je t'ai posé une question, pépé...
- hmm... euh... c'est-à-dire, non
- pourquoi t'y étais pas un gilet jaune ?
- hmm, ben, ils étaient... et aussi... alors...
- alors quoi, t'étais contre ?
- hmm, euh... peut-être bien que oui
- et maintenant ?
- maintenant, c'est trop tard
- j'aurais pas aimé être ta place
- pourquoi ?
- moi j'en aurais été un gilet jaune, même que pas d'accord
- ben oui, c'est la vie, parfois si on aurait su, on aurait venu
Fosobo, 19 décembre 2068 20:32
contaxte
que font les chats fourrés sur les Champs Élysées ?
bac de gaz là crim'homogène
police à dadaïste ou Vidocq en vitrine
pour dé-chouard en RIC hochet
démagogie = dégage-moi
j'ai sans chercher trouvé
le sexe des angles d'un ange obtu
Fosobo 15 décembre 2018 14:20
adresse
quand on y va pour voir on ne voit rien du tout, jamais les yeux sans cœur et pas d'esprit sans corps, et pas d'arme sans âme, les lames dans la lame au fond sont dans la forme, là le son qu'on apprend comme un air de musique, elle vient en tête dansant avec les pieds, et les mains font la fête ou allez vous coucher, et ne touchez à rien, ni la femme qui dort à côté de vos rêves, ni la prime que vous n'avez pas méritée, ni salaire de la peur de l'autre qui se bat, à votre place il n'a pas froid aux yeux, il se les pèle où ça va péter le feu rouge, il passera l'hiver en jaune de printemps, et j'écrirai des vers en vert sur tous les fronts, sans plus penser à vous car vous n'existez pas
Fosobo 13 décembre 2018 11:23
humeur
n'est pas français ou pas cet élan de participer, comme ci comme ça, à un moment d'histoire comme il en est trop peu. Et ne viens pas te plaindre, toi, plus tard, de n'avoir pas aimé au temps qu'il était tant, avec une fleur ou un bâton, un nom, un masque, des mots, des coups donnés reçus, des trous à la mémoire ou des trop-pleins d'espoir. Ne reviens jamais dire que tu savais avant, qu'il aurait fallu que, qu'il eût été mieux de, que l'erreur est fatale et déjà une faute, que l'empire des sens te semblait indécent. Car nous te répondrons, en chœur et de bon cœur que l'on n'a pas vécu en étant mort déjà
10:24
compas à pas contés
nous apprenons tous en marchant dans les pompes des autres
c'est la faute à personne et tout le monde à tord
ou à raison s'y perd ou s'y retrouve et mord
la poussière et le sent et le sang et laissant les sans ordres
avec des mots sans voix et des voies et des maux
des couteaux dans la plaie remuer boues et eaux
au bout d'un bout sans bout et d'un but par défaut
09:43
fluence
tu ne peux pas ne pas
renaître sans en être
assis au bord du fleuve
sentir l'air frais d'en bas
sans relents nauséeux
en attendant la preuve
que l'avenir viendra
08:53
mots lestés
gilet Jaune et chaud fourré
le masque agace
la bande de gaz
Julien coupable
ça couille de source
la farce en colère
corps sans intermédiaires
amers jusqu'aux dents
Fosobo 9 décembre 2018 20:32
pas de 'poésie révolutionnaire', de la poésie, pour la révolution, on verra
13 janvier : je mets un terme à cette série parallèlement au point final de mon Journal sans débord des Gilets Jaunes. C'est ma manière de me désolidariser totalement de tous ceux qui ont contribué à ce mouvement au nom du communisme, de l'anarchisme ou de l'antifascisme, et plus généralement de la liberté. Avec Rimbaud plus bas : mort au jaunisme !
mise à sac
(poème dadaïste, 2)
j'ai découpé dans le journal
les noms les plus fréquents
verbeux ou éloquents
du riche au plus banal
la verve hexagonale
ses mots inconséquents
stylés grandiloquents
ses phrases terminales
et j'ai mis le tout dans un sac
agité doucement
consciencieusement
sorti chaque coupure
avec son sens impur
aggravant le sillon
Fosobo 10 janvier 2019 11:23
Tristan Tzara, Pour faire un poème dadaïste, in Sept manifestes dada, 1924
l'honneur des poètes
pas un poète n'est en jaune
pas un mot chez Rimbaud
dévoyé des voyelles
envoyez vos plurielles
à la lune, ribauds
des bleus béjaunes
les temps sont à la boxe
et j'ai jeté mon gant
à la face d'un bouc
au profil arrogant
brûlé le facebook
débile où gerbe l'hoax
et beugle le slogan
du bigleux suffragant
Fosobo 10 janvier 2019 10:51
Arthur Rimbaud, Voyelles, 1871
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles...
la dérobée
cerveaux gelés
sous les gilets
langue en poterne
à la lanterne
bien pendue
où je m'enfuis
par tout à l'huis
au pas perdu
d'une baderne
la nuit m'ennuie
le jour me nuit
drapé en berne
clos des gibets
ah la caverne !
Fosobo 10 janvier 2019 10:33
sans gains
tu te disais que ton pays devenait fou
depuis longtemps déjà il n'était plus le même
qu'on attendait de lui. Il était bien le même
aux yeux de l'étranger à bord du garde flou
qui soulevait ses voiles et découvrait les trous
percés dans la carène au jaune de l'emblème
son ivre capitaine ourdit un stratagème
en vain quand à la barre il devint si fin saoul
qu'il donna le canon sur les gens de chez nous
le sang coulait ici et là-bas le champagne
il n'avait jamais navigué en tel danger
et ne savait pas qui qui qui serait mangé
mais consterné se retrouva au bagne
Fosobo 30 décembre 2018 03:13
gibets jaunes
des cas piteux d'une coupée tête
ont été rapportés décapités
de cette conjoncture de fête
où pue l'air dans la nuit déboutée
populaire est la tradition
populiste la transition
sans poésie ni révolution
Fosobo 29 décembre 2018 09:52
fuis là-bas fuis
je suis allé lui dire que je m'en vais
que je suis mieux chez moi, qu'est ailleurs que chez nous
où personne ne suit, où personne ne nuit
parce qu'il y fait jour gai, et que le triste cire ses bottes de non-lieu
sa tronche d'encaustique et ses tics pour la cause
et qui ne cause pas, qu'a des poux dans la tête à dormir nuit debout
à tourner en rond-point où fréquenter la haine à prendre pour l'amour
au bistrot du commerce et plans sur la commère
et comme on couche avec on salit ses beaux draps
on s'allie blanc et bleu on voit rouge où c'est jaune
et puis et pis pipis sur la moquette en chœur
et le merle moqueur s'en bat l'aile du cœur
et je m'en vais je dis avec la mer à boire et le ciel à croquer
Fosobo 28 décembre 2018 05:20
comptez légendes
les cons tenus en laisse
tombés laisse béton
ceux qui veulent des ronds
point. Et point que paresse
un monde sans argent
une ronde des gens
avec la mer à boire
04:48
des nouvelles du tronc
commun comme une oronge
est bleue comme pourri
tombé de l'arbre un fruit
sur le mal qui nous ronge
en attendant la nuit
en attendant la faim
en attendant demain
Fosobo 27 décembre 2018 20:05
amanite oronge
la lutte déglace
on pendra le marquis
on écrira un manifeste
de l'internationale illettriste
de fêtes en défaite
pas qu'au bal con, Noël est triste
de harde compagnie
on prendra le maquis
Fosobo 25 décembre 2018 16:36
50e anniversaire
- dis pépé, est-ce que t'y étais toi, un gilet jaune ?
- hmm... pourquoi poses-tu cette question ?
- ben parce que ça m'intéresse, tiens, quelle question !
- pourquoi ça t'intéresse ?
- je t'ai posé une question, pépé...
- hmm... euh... c'est-à-dire, non
- pourquoi t'y étais pas un gilet jaune ?
- hmm, ben, ils étaient... et aussi... alors...
- alors quoi, t'étais contre ?
- hmm, euh... peut-être bien que oui
- et maintenant ?
- maintenant, c'est trop tard
- j'aurais pas aimé être ta place
- pourquoi ?
- moi j'en aurais été un gilet jaune, même que pas d'accord
- ben oui, c'est la vie, parfois si on aurait su, on aurait venu
Fosobo, 19 décembre 2068 20:32
contaxte
que font les chats fourrés sur les Champs Élysées ?
bac de gaz là crim'homogène
police à dadaïste ou Vidocq en vitrine
pour dé-chouard en RIC hochet
démagogie = dégage-moi
j'ai sans chercher trouvé
le sexe des angles d'un ange obtu
Fosobo 15 décembre 2018 14:20
adresse
quand on y va pour voir on ne voit rien du tout, jamais les yeux sans cœur et pas d'esprit sans corps, et pas d'arme sans âme, les lames dans la lame au fond sont dans la forme, là le son qu'on apprend comme un air de musique, elle vient en tête dansant avec les pieds, et les mains font la fête ou allez vous coucher, et ne touchez à rien, ni la femme qui dort à côté de vos rêves, ni la prime que vous n'avez pas méritée, ni salaire de la peur de l'autre qui se bat, à votre place il n'a pas froid aux yeux, il se les pèle où ça va péter le feu rouge, il passera l'hiver en jaune de printemps, et j'écrirai des vers en vert sur tous les fronts, sans plus penser à vous car vous n'existez pas
Fosobo 13 décembre 2018 11:23
humeur
n'est pas français ou pas cet élan de participer, comme ci comme ça, à un moment d'histoire comme il en est trop peu. Et ne viens pas te plaindre, toi, plus tard, de n'avoir pas aimé au temps qu'il était tant, avec une fleur ou un bâton, un nom, un masque, des mots, des coups donnés reçus, des trous à la mémoire ou des trop-pleins d'espoir. Ne reviens jamais dire que tu savais avant, qu'il aurait fallu que, qu'il eût été mieux de, que l'erreur est fatale et déjà une faute, que l'empire des sens te semblait indécent. Car nous te répondrons, en chœur et de bon cœur que l'on n'a pas vécu en étant mort déjà
10:24
compas à pas contés
nous apprenons tous en marchant dans les pompes des autres
c'est la faute à personne et tout le monde à tord
ou à raison s'y perd ou s'y retrouve et mord
la poussière et le sent et le sang et laissant les sans ordres
avec des mots sans voix et des voies et des maux
des couteaux dans la plaie remuer boues et eaux
au bout d'un bout sans bout et d'un but par défaut
09:43
fluence
tu ne peux pas ne pas
renaître sans en être
assis au bord du fleuve
sentir l'air frais d'en bas
sans relents nauséeux
en attendant la preuve
que l'avenir viendra
08:53
mots lestés
gilet Jaune et chaud fourré
le masque agace
la bande de gaz
Julien coupable
ça couille de source
la farce en colère
corps sans intermédiaires
amers jusqu'aux dents
Fosobo 9 décembre 2018 20:32
Re: MOTS LESTÉS
fait suite à MOTS LESTÉS. On y trouvera mes raisons de tourner la page
dans la tradition de la poésie française à formes plus longues que celles utilisées dans mes dernières séries, j'utiliserai à minima la forme sonnet et l'alexandrin, ou des vers au-delà de douze syllabes
pour faire un poème pédophile
prenez
un écrivain vrai-monnayeur
un anarchiste germano-français
un autre anarchiste-écrivain, conseiller en suicide
un évêque et son juge, français,
et son pape lucide
mélangez sans songer,
qu'en effleure du mâle
Fosobo, 20 mars 2019, 13:03
la mare saignait
Allons enfants de l'apatride
Le jour de boire est arrivé
Contre nous de la tire honnie
Le temps noir sans blanc est lavé
Entendez-vous dans la campagne
Rugir ce féroce débat
Quinze cent impurs à preuve nazillons
Viennent jusque dans nos combats
Éborgner et boire le champagne
Aux armes sans moyens ! Prenez vos battes taillons !
Marchons, Marre chions !
Fosobo, 29 janvier 2019, 05:56
on savait pas
sonnet 447
on ne m'avait pas dit ça va sans queue ni tête
et mon cortège allait devant derrière uni
nous étions tous contre un comme à l'idée jaunie
des vieux clichés rougis par nos flammes en fête
on avait nos débats contre sa grande enquête
et l'on n'irait pas boire au verre de l'insomnie
on trouvait à Macron un air lacrymonie
et nos amis étaient son ennemie la bête
immonde au ventre encore on était refait con
tout ce qui n'est pas jaune est bon pour le gibet
on était le gibier entre la proie et l'ombre
au shadow masochiste Ah les tweets alunés
le bide au vide d'essence et des sens on sombre
à lâche de raison mésanges sont faucons
Fosobo, 13 janvier 2019, 17:44
Pourquoi les mésanges deviennent des tueurs en série ?
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