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FUGUE EN SI SOL

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FUGUE EN SI SOL Empty FUGUE EN SI SOL

Message par Invité Ven 8 Mai - 4:30

FUGUE EN SI SOL

si pari était en bouteille
à la mer jeté comme un dé,
aboli le hasard accordé
au pays des merveilles

et sur terre j'avions une oreille
au pied du mur bandée
et de tout l'art bardée
aux couleurs de l'orseille

alors, à vol d'oiseau,
à cent bornes' alentour
aux confins d'un réseau

j'irai faire un détour,
fugue en intermezzo
pied au sol, sans retour


FoSoBo, 8 mai 2020, 04:30, sonnet n°452 environ

FUGUE EN SI SOL 2148380

Invité
Invité


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FUGUE EN SI SOL Empty Re: FUGUE EN SI SOL

Message par Invité Mar 7 Juil - 10:27

LE RAMIER

Pigeon vole, siffle en vol,
pas lui, ses ailes,
battues sans zèle, ramier

Dans la vraie vie,
sur terre, c'est la galère,
et toujours les mêmes qui rament,
pigeonnés

FoSoBo, 7 juillet 2020, 10:24, sonku


L'ESCARGOT
à Isidore Izou, Traité de bave et d'éternité

Traité de bave, et d'éternité
s"avançant lentement
il glisse sans entrave

Petit gris n'est pas grave
mais a l'appétit gros

Est-ce qu'art go
du jardin cultivé ?

FoSoBo, 5 juillet 2020, 06:55, sonku


NONNETTE

Reine de la voltige la mésange
au pommier du lilas
joue à chat

Lui qui naguère en chassa
reste là, où ça ?
caché, de guerre lasse
ah ça ira

FoSoBo, 4 juillet 2020, 11:05, sonku



LISIÈRE

je lis à la lisière
des mots et du désir

reclus dans mon désert
ça laisse à désirer

élisez des azur
dans les champs du disert
au chant donneur jazzé

le désir est à la lisière

Roland Barthes, Le plaisir du texte, 1973
FoSoBo, 9 juin 2020, 05:02, sonku



TERRE NOIRE

Black Love ma terre
et ma forêt ruinées
près de là je suis né

et depuis l'on m'atterre
où je fus materné

j'en deviens consterné
Black Live Matter

FUGUE EN SI SOL Les-usines-du-janon-a-terrenoire-1890-2-fi-icono-1190_img
FoSoBo, 5 juin 2020, 09:07, sonku


BRISE

la forme d'une feuille
épouse le vent d'autant
qu'elle fait accueil
au souffle du printemps

elle dit - Ah lisez
moi l'alizé
que je le brise


FoSoBo, 3 juin 2020, 09:34, sonku



RONDE D'APRÈS

tous les goûts sont dans la nature
et les égouts de la culture
débondent mortels au printemps
d'un monde qui a fait son temps

nous n'irons plus au bois
que masque l'arbre mort
nous embrasser comme autrefois

FoSoBo, 3 juin 2020, 04:30, sonku



MANIE TOUT

un temps pour tout
l'arrêt s'impose
et de la glose
et du grand manitou

passer à autre chose
l'art est sans pause
et le poème itou

FoSoBo, 2 juin 2020, 10:33, sonku



LE DIT DU "JOBARD"

toi qui n'as pas aimé
tu vois la haine
qui t'est aubaine

et pas l'apôtre
dans ton regard
sourd et muet
de ringard pétrifié

« Désolé mais je ne supporte pas, au sens émotif, une telle haine personnelle... je me demande bien ce que je t'ai fait pour mériter cela... ça doit être vraiment grave et je m'en excuserais presque....sans ironie...» Pepe@dndf, 31 mai 2020

FoSoBo, 1er juin 2020, 08:35
PLACE À JUSTES VIOLENCES !
À la mémoire de Flora Tristan *, et de son petit-fils Paul Gauguin
à George Floyd


Nous tournerons les vents mauvais sur toutes têtes
de nœuds du lien social au bordel capital
Nous jetterons l'effroi dans la tempête

Feu sur leur droit à la violence
Sur la violence de leurs droits


Aux riches et leurs chiens Aux maîtres et leurs biens Aux mâles de leurs miennes Aux chefs et leurs miches
Aux princes de la triche Aux trombines d'écrans Aux marchands et combines Aux sages de l'usine

Feu sur leur droit à la violence
Sur la violence de leurs droits


Aux bureaux Aux barreaux Aux tôles et contrôles Aux caméras cachées À la came en cachets
Au gibet des guichets À la démocratie ses scies À politique et ses boutiques Au sale lot boulot
Au travail ce trafic Aux trajets des tracas Aux fracas des sujets Aux pouvoirs des avoirs
Aux affaires Aux affreux À l'horreur des horaires Au permis aux pervers Aux salauds Aux salaires

Feu sur leur droit à la violence
Sur la violence de leurs droits


Aux bonnes soeurs des sacrifices Aux malsains édifices d'État Aux faux seins et tas d'artifices
Aux quartiers de mollesse Aux quartiers sans noblesse Aux rentiers de la fesse Aux messes des banquiers
Aux valeurs de papiers Aux pigistes pliés aux pieds de la valeur Aux artistes pompiers
Aux pinpons des doctrines Aux doctoresses en droit Aux élueurs de gauche Aux terreurs du milieu
Et j'en oublie et j'en oublie on remplira et cætera

Feu sur leur droit à la violence
Sur la violence de leurs droits


Ajoutons-y ces rats aussi Ces assis scélérats sociaux et ces cocos rassis Ces curés à parade chic
Ces coincés d'appareils Leurs partis c'est pareil Les carats prés carrés Les cars de policiers
Les paras préparés par droits de l'homme à la violence Et les fistons par leurs tontons au droit de viol
Et j'en oublie et j'en oublie on remplira et cætera

Feu sur leur droit à la violence
Sur la violence de leurs droits

Comme ils ont mis nos vies à nu
nos malheurs au placard
nos savoirs au rancart
nos enfants à la rue
nos vieux à la poubelle
nos belles au trottoir
nos malades aux déchets
nos luttes en fichiers
nos pauvres en prison

Et compromis ce temps sans horizon
achetant aux enchères
sur l'air à vendre leur canon
le plus cher de nos chairs

Place à justes violences !

Comme ils ont à bruit blanc
réduit les maux du monde
Soumis à l'or planqué
les mots vidés de sens
Abruti le silence
salaire d'impuissance  
Ôté à la bonté toutes ses vérités
et même à tout poème...

...ah ah la poésie laissez-moi rire
Un temps pour tout ! D'urgence offrir

Place à justes violences !

On gardera nos vers pour le repos guerrier
et la rime pour rir' si si soyez gais riez
un sourire à la main pour venger la maman
d'un père l'aimant en cage
d'un fils mort désarmé

On offrira des fleurs à nos filles sauvages
de beaux joujoux aux gosses de partout
des youyous désarmant aux fusils
de futiles yoyos et la commune à tous
pour le temps nécessaire inutile
Encore faut-il

Faire un pas vers un choix
de vivre en liberté
entre tous inventer
                                        l'infini
contre un reflux des vagues
pour un réel allié
à folie tendre
âmes déliées

Mais sans attendre faire

Place à justes violences !

4 janvier 2012 TEMPS BASCULÉS
après lecture du magnifique roman de Vargas Llosa 'Le Paradis - Un peu plus loin', avec un aveu : je fus tenté par le 'hasard objectif' (André Breton, Nadja) quand, élu en 1975 secrétaire d'une nouvelle cellule du PCF baptisée Flora Tristan, j'appris qu'elle avait vécu à deux pas, rue du Bac (où son mari lui tira un coup de révolver, kidnappa et viola sa fille la mère de Gauguin), et que "Madame la colère" était née, comme moi, un 7 avril (ainsi que Billie Holiday). Avant Marx, elle affirma « L’affranchissement des travailleurs sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes. L’homme le plus opprimé peut opprimer un être, qui est sa femme. Elle est le prolétaire du prolétaire même ». Néanmoins, son 'Union ouvrière' fut naïvement pacifiste.
AINSI PARLAIT STAR À TOUSSE TAS

prothèse-toi, protège-moi
de sainte thèse enfant virus

éloignons-nous les uns des autres
comme il nous a hainé
et qu'entre nous de nos aînés
crèvent les yeux de ses apôtres
la paille grosse de la poutre

FoSoBo, 26 mai 2020, 10:06


LA NATURE DES POISSONS
Histoire secrète de la poésie, 4*


FoSoBo, 25 mai 2020, 03:31
à Boby Lapointe, comme d'hab', et Annette, pour l'occas'
la théorie communiste est aussi intéressante que la pêche à la ligne. Parfois, on attrape un petit poisson, on le rejette à l'eau du bain, avec du citron. La maman du poisson, elle est bien contente

plus loin, la femme d'Homo Sapiens ramasse des baies sauvages. Elle ne remet jamais deux fois la main au pied des mêmes mûres, qui sont des groseilles, parfois. Quand elles sont trop hautes, elle se dit, - c'est du sur-travail. Alors elle appelle son homme, le maçon, c'est au pied des mûres qu'on le voit. Lui aussi il est trop petit, mais il invente les lamentations, puis l'échelle, avant la roue, le fil à couper le beurre, et l'argent. Et le temps qu'il faut, à défaut du temps qu'il fait

tout ça c'était avant l'écriture et la parole, le mot "nature" n'existait pas. Aujourd'hui on peut écrire, et lire "yaourt nature", alors on sait que c'est sans sucre. Le sucre, c'est l'homme noir qui l'a fait, dans la plantation, avec des chaînes, et des chiens, et la voix de son maître, et plus question de cueillir-chasser. En attendant Schœlcher, t'étais marron. Pendant ce temps-là, la femme du Noir fait des métis avec son patron, un grand pécheur mais qui balance son porc à confesse, ça compte pas

toi, aujourd'hui, si tu veux du yaourt nature, tu vas au super-marché, avec un masque, et t'attends ton tour à un mètre. Pareil si tu veux du yaourt aux fruits rouges, qu'a pas le goût de fruits rouges, qu'a pas de fruits rouges du tout, c'est pour ça que c'est pas un yaourt nature. C'est un yaourt culture. La nature, moins en en a, plus on l'étale, c'est l'écologie, de la confiture pour les cocochons  

le philosophe, lui, il écrit : - « La groseille et le poisson, c'est de la nature, le yaourt c'est de la culture, l'échelle c'est pour le sur-travail du maçon, un prolétaire. La femme n'existe pas, encore moins si elle est noire. Le chien lui il s'en fout, il mange un croissant le dimanche sur le trottoir d'en face, et le bourgeois aboie, c'est un concept. Moi je suis la théorie restreinte. »

la maman du philosophe, elle est bien gentille

l'éditeur, l'imprimeur et le libraire sont contents, parce que ça vend des gros livres

le poète, il dit rien, il fait rien, il a toujours été rien, et rien d’autre que rien. Il est resté nature
* les trois premiers épisodes se trouvent par là


SANS RÉPIT SANS SONNET

à minuit étourdit
le merle a plus du tour
que l'étourneau ourdit
assommant comme un sourd

dissonant et balourd
battant abasourdi
de l'aile et du tambour

FoSoBo, 23 mai 2020, 05:11, sonku (mi haïku, mi sonnet)


RÉFLEXION

je me repérerai
tu te répareras
il se répétera
nous nous rétablirons
vous vous rétamerez
ils se répartiront

c'est à la réflexion que nous réfléchirons

FoSoBo, 20 mai 2020 02:32



DU SOL AU PLAFOND

si, du sol au plat fond
de mes vers, à boire l'amère
tempête dans une verre
d'haut en bas de plafond

je mets un doigt dans l'œil
devers moi contre tout, ma mère,
la terre, se jette à la mer
comme une pomme tombe du soleil

et alors, tel un Icare fond,
brûlant ses ailes en enfer,
personne n'empêche d'en faire

toute une histoire, un poème, un sonnet,
celui-ci ou un autre, car
la poésie n'est pas confinée

FoSoBo, 15 mai 2020, 11:14, sonnet n°453 environ


L'IN-SECTE

bzzz bzzz font les insectes
au zèle cloué au sol
avec des si, des scies,
des si majeur, un air de fol

dans leur nid de frelons
confinés de leur secte
sans espoir d'éclaircie

FoSoBo, 14 mai 2020, 10:24


CHAOS PANTINS

las des écarts
des curés rouges
dans leur bouge

c'est avec art
que je m'en vais
sans vent mauvais
pour que ça bouge

FoSoBo, 14 mai 2020, 06:46


PERSONNE

dans le monde d'avant, je ne voyais personne
que les miens, la crémière et le boulanger
et de loin, de très loin, la police avec son danger

dans le monde d'après, je ne verrai personne
que les miens, la boulangère et le crémier
et de près, de trop près, le fumier

FoSoBo, 13 mai 2020, 14:47


QUELQU'UN

avant de quitter le monde d'avant, on a toujours quelqu'un à voir, ou revoir, mais qui ?
arrivé dans le monde d'après, on le, ou la, voit, ou revoit, mais c'est en rêve et l'on ne sait pas qui
qu'importe qui, pourvu qu'il y ait quelqu'un, qui ne soit pas n'importe qui

FoSoBo, 13 mai 2020, 11:50


AU RAT DU CIEL

et si je vous disais
que le merle moqueur
a refait mon bonheur
et que même biset
me ravit, entre sol
et ciel gris, le bec
faisant des ronds dans l'eau ?

FUGUE EN SI SOL MarneBord21
pigeon biset sur les bords de Marne, du silence, en langue d'oiseau , photos Patlotch, 7 octobre 2014

« Le pigeon est un peu le rat du ciel, un rat auquel on aurait vissé des ailes avant de le repeindre en gris. »
Patrick Deville, Peste & Choléra

FoSoBo, 10 mai 2020, 05:55



JE PISSE DANS LA LUNE

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville

une mortelle peur, un horrible grésil

La pluie fait des claqués
sur le sol à mes pieds
et dans la flaque meurt
un reflet de la lune

l'urine humaine pourrait un jour devenir un ingrédient utile dans la fabrication de "béton lunaire"

FoSoBo, 9 mai 2020, 13:57



À L'OMBRE DU PLAFOND
à Pierre Reverdy, Au soleil du plafond, 1955

si, entre sol et plafond, de verre
en vers et contre tousse,
j'avions, de sortir, la frousse,

ce seriont un revers
dit, Monsieur Reverdy ?

ou bien un non-dit
confinant l'univers ?

voir Comment le poète en herbe se fait sortir du cimetière des mots, 1990
« cette forme ridicule et mutilante du sonnet » Pierre Reverdy, Circonstances de la Poésie

FoSoBo, 8 mai 2020, 12:58, demi-sonnet



FUGUE EN SI SOL

si pari était en bouteille
à la mer jeté comme un dé,
aboli le hasard accordé
au pays des merveilles

et sur terre j'avions une oreille
au pied du mur bandée
et de tout l'art bardée
aux couleurs de l'orseille

alors, à vol d'oiseau,
à cent bornes' alentour
aux confins d'un réseau

j'irai faire un détour,
fugue en intermezzo
pied au sol, sans retour


FoSoBo, 8 mai 2020, 04:30, sonnet n°452 environ

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